Cet été, j’ai dévoré des romans de développement personnel, des livres merveilleux qui m’ont fait prendre de la hauteur. Je suis rentrée dans chaque histoire, et chacune m’a marquée à sa façon.
Ma digital detox aura été très bénéfique sur ce point : j’ai pu me plonger entièrement dans mes lectures sans être déconcentrée par les vibrations de mon smartphone à chaque notification.
J’ai choisi de regrouper dans cet article quatre romans que je qualifie de romans de développement personnel car sous les traits de la narration se glisse une impulsion vers le changement, la réflexion, l’audace.
Contrairement à un pur ouvrage de développement personnel, ici les conseils et pistes de réflexion sont distillés dans le récit au travers des actions des personnages et des conversations. Ce sont des livres qui se lisent vraiment facilement et que je trouve très inspirants. Sans que l’on s’en rende forcément compte, ils nous ouvrent les yeux sur certains aspects de notre vie, notre façon de nous comporter ou encore nos rapports avec les Autres.
Pour chacun de ces romans de développement personnel, je vous ai recopié le petit résumé de la quatrième de couverture, puis je vous ai donné mon avis et j’ai terminé avec un ou plusieurs extraits afin de vous donner une idée du style littéraire de l’auteur (et vous savez comme j’aime les citations ^_^ ).
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LA DISCIPLE, Vincent Cueff
Miriam vit en ancienne Palestine sous l’occupation romaine. Lorsqu’elle décide de tout quitter pour suivre Yeshua, un mystérieux guérisseur itinérant, sa destinée va s’en trouver bouleversée. Mais sa quête de liberté et de spiritualité sera menacée par l’obscurantisme du peuple, et surtout celles des femmes.
Le roman La Disciple m’a surtout plu pour le thème sur lequel l’histoire repose : la religion. La forme du récit qui s’approche du conte (et qui m’a rappelé L’Alchimiste de Paulo Coelho) ainsi que le style littéraire simple et très fluide, permettent une approche assez inhabituelle pour traiter de ce sujet épineux. J’ai aimé les idées de Yeshua, sa sagesse, sa détermination pour éclairer son peuple et le pousser à s’interroger, sa volonté de soulever le voile de l’obscurantisme religieux.
Les réflexions de Yeshua sont plus que jamais d’actualité vu le contexte politique et religieux dans lequel nous vivons actuellement. Elles permettent de prendre de la distance et de réfléchir avec objectivité sur le bien fondé des religions, leur légitimité, sans pour autant porter de jugement. La critique est bienveillante, et je pense, n’offensera aucunement les pratiquants (cela m’intéresserait d’ailleurs d’avoir l’avis de pratiquants qui le liront).
Et bien sûr, dans La Disciple, il y a Miriam et son cheminement personnel et spirituel. Son choix qui la portera vers une destinée si différente de celle qu’on lui avait choisie…
[EXTRAIT] Afin de réaliser vos rêves, vous devez vous imposer votre propre discipline. Les tentations seront nombreuses sur le chemin et vous devrez apprendre à être fort et à renoncer à ce qui vous nuit. Avant d’atteindre la lumière vous devrez passer l’épreuve des ténèbres. Vous êtes ici pour chaque jour devenir des femmes et des hommes un peu meilleurs, pour réaliser ce qui vous tient à coeur et pour connaître la joie. Vous aurez souvent à choisir la voie la moins fréquentée et c’est elle qui vous mènera à bon port. Mes amis, la vie vous impose de faire des choix car c’est ce qui vous permet d’avancer sur le chemin. Ne laissez pas des autorités extérieures décider à votre place de la route que vous souhaitez prendre. En toute chose, que votre oui soit un oui et que votre non soit un non ! [EXTRAIT 2] Lorsque la mort fait craindre des peines sans fin, l’âme humaine se soumet et oublie son origine divine. Si les hommes cessaient de craindre l’au-delà et s’ils refusaient de commettre les pires exactions au nom de la religion, en croyant qu’ils gagneraient ainsi leur place auprès des élus, le monde serait plus serein. Et chacun comprendrait alors que l’enfer et le paradis ne sont que des créations de l’esprit et non pas des lieux où nous attendent récompenses ou châtiments éternels. Vois-tu, il existe de nombreuses religions et elles ne sont pas d’accord les unes avec les autres. Ne penses-tu pas que si elles détenaient la vérité, alors elles seraient identiques les unes aux autres et ne formeraient plus qu’une seule religion qui serait une évidence pour chaque être humain ? Est-il nécessaire d’établir un système religieux pour décréter que le jour succède à la nuit, ou bien que le soleil se lève chaque matin à l’est ? Non, car ces faits sont admis par tous et évidents par eux-mêmes.***
Ne marche pas si tu peux danser, Dr Anne van Stappen
Brillante collaboratrice d’un créateur de mode, engagée depuis peu dans une action humanitaire, Sophia, 32 ans, semble réussir tout ce qu’elle entreprend… Pourtant, des tensions dans sa vie amoureuse et un ras-le-bol professionnel plongent la jeune femme dans un profond tumulte intérieur. Dépassée par son tempérament volcanique, elle décide de remettre sa vie en question. Dans ce chaos intime, Mattéo, le vieux propriétaire de son immeuble, devient pour elle un guide de sagesse.
Entre Venise et l’Amazonie, déboires amoureux et quête d’un père, les tribulations de l’héroïne, avide de danser sa vie, nous happent dans leurs imprévisibles rebondissements.
Dès le titre, le décor est planté, « Ne marche pas si tu peux danser » : ça m’a inspirée direct !
Si je vous en parle, ce n’est pas vraiment pour l’histoire que j’ai trouvée convenue par moment, rocambolesque à d’autres, c’est surtout pour le fond. Pour les techniques de communication non violente que l’on devrait tous apprendre dès notre plus jeune âge. Et pour les nombreuses phrases si justes et si sages. D’ailleurs chaque chapitre commence par une citation… que j’ai presque toutes recopiées !
Ne vous méprenez pas, j’ai aimé lire l’histoire de Sophia, la voir se démener pour trouver les clés qui l’aideront à vivre la vie qui lui convient vraiment. Lorsqu’on a la trentaine, on se pose beaucoup de questions, on arrive à un tournant (je suis bien placée pour en parler), alors la progression de Sophia dans ses relations, dans sa vie professionnelle et dans la gestion de ses traumatismes familiaux, est une source d’inspiration.
[EXTRAIT] – Je m’arrange pour que la vie m’aime alors elle me plaît !– Mais que faites-vous pour ça ?
– C’est simple, dans une difficulté ou un dilemme, je me pose une seule question : « que ferait l’amour dans cette situation ? » Vous savez on meurt surtout de ne pas aimer. [CITATION] Une certaine manière de regarder les choses nous aide à les apprécier plutôt qu’à les subir. [CITATION] De toute façon, il vaut mieux avoir de grands rêves qu’on n’atteint pas que de petites ambitions réalisées sans panache. [CITATION] Vous savez, pour moi, tout est une question de coeur. Le reste ne m’intéresse pas. Je crois qu’un message qui vient du coeur touche l’être humain au bon endroit.
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Les dieux voyagent toujours incognito, Laurent Gounelle
(Le titre du livre a apparemment légèrement changé entre l’édition que j’ai et l’édition Pocket que l’on trouve actuellement)
Imaginez. Un homme vous sauve la vie, en échange de votre engagement de faire tout ce qu’il vous demande… pour votre bien. Le dos au mur, vous acceptez et vous vous retrouvez embarqué dans une incroyable situation où tout semble vous échapper. Vous n’êtes plus le maître de votre vie et pourtant… à bien des égards, elle est plus excitante qu’auparavant ! Mais peu à pu, le doute d’installe en vous : quelles sont les intentions réelles de cet homme qui s’est immiscé dans votre existence ? Qui est-il vraiment ? Et qui sont ces personnages énigmatiques dans son entourage ? Les découvertes qui vous faites n’ont rien pour vous rassurer.
Cette histoire, qui nous plonge dans l’atmosphère envoûtante d’un été parisien, ouvre la voie de la plus belle des réflexions sur nous-mêmes : qu’est-ce qui peut nous permettre de dépasser nos inhibitions, nos peurs et nos conditionnements, pour sortir du chemin tout tracé de notre vie lorsque celle-ci ne nous apporte pas pleinement satisfaction ?
Celui-ci est une petite pépite. C’est le premier livre de Laurent Gounelle que je lis. On me l’a prêté il y a deux ans au moins et je ne comprends pas pourquoi je ne m’étais pas penchée dessus plus tôt.
Le style de Gounelle est très agréable et abordable, ça se lit tout seul. Le dosage entre conseils de développement personnel et fiction est parfait.
L’histoire est vraiment bien ficelée, intrigante. On se laisse happer par les épreuves que se voit imposées ce pauvre Alan de la part de son étrange sauveur. Laurent Gounelle utilise le monde du travail pour réaliser une critique de notre société et tout y passe : la finance, l’individualisme, le management, la psychologie…
La progression d’Alan dans la quête de l’estime de soi est étonnante et paraît en même temps évidente tant sont pertinentes les leçons données par cet homme qui tire les ficelles de sa vie.
C’est une belle histoire, les personnages sont intéressants et là encore on se met à réfléchir à la façon dont on perçoit chaque situation. Et on réalise que finalement le bonheur ne dépend que de la façon dont on appréhende sa vie.
[EXTRAIT] – Si, je suis convaincu que chacun d’entre nous peut changer le monde. A condition de ne pas baisser les bras, ni renoncer à ce qu’il croit, ni laisser bafouer ses valeurs. Sinon, on est complice de ce qui arrive.– Oui, d’accord, mais ce sont des belles paroles. Concrètement, ça ne sert pas à grand-chose. ce n’est pas parce que toi, tu prendras le risque de rester intègre dans ton entreprise que tu empêcheras les autres de mal se comporter.
Je regardai Alice. C’est drôle, j’avais le sentiment que même si elle tentait de me prouver que mes efforts étaient vains, au fond d’elle, elle avait envie que j’aie raison. Elle n’avait peut-être plus d’espoir, mais ne demandait qu’à espérer de nouveau. [EXTRAIT] Que de chemin parcouru depuis ce jour… Que d’émotions, de tensions, d’angoisses, mais aussi d’espoirs, de progrès, d’avancées… Je n’avais bien sûr pas changé en tant que personne. J’étais toujours le même et il était impossible qu’il en soit autrement. Mais j’avais le sentiment de m’être libéré de mes chaînes comme un bateau largue les amarres qui le retiennent au quai. J’avais découvert que la plupart de mes peurs n’étaient qu’une création de mon esprit. La réalité revêt parfois la forme d’un dragon effrayant qui s’évanouit dès qu’on ose le regarder en face. J’avais, sous l’impulsion d’Igor, apprivoisé les dragons de mon existence, et celle-ci me semblait maintenant peuplée d’anges bienveillants. [CITATION] Si tu veux rester jeune toute ta vie, continue d’évoluer, d’apprendre, de découvrir, et ne t’enferme pas dans des habitudes qui sclérosent l’esprit, ni dans le confort engourdissant de ce que tu sais déjà faire.
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Mange, Prie, Aime, Elizabeth Gilbert
A trente et un ans, Elizabeth possède tout ce qu’une femme peut souhaiter : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Pourtant, elle est rongée par l’angoisse et le doute. Un divorce, une dépression et une liaison désastreuse la laissent encore plus désemparée. Elle décide alors de tout plaquer pour partir seule sillonner le monde !
En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les « douze kilos les plus heureux de sa vie » ; en Inde, ashram et rigueur ascétique l’aident à discipliner son esprit et, en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver cet équilibre qu’on appelle le bonheur… Qui n’a jamais rêvé de changer de vie ?
Alors là… ! REVELATION ! Ce livre, non mais vraiment !?!
Oui, je sais, tout le monde le connaît sûrement, c’est un best-seller mais c’est le méga coup de coeur de mes lectures de ces derniers mois. Il était sur ma wish list depuis plusieurs années. D’ailleurs, j’avais commencé à regarder le film (avec Julia Roberts <3) il y a quelques années, mais le doublage était tellement mauvais que je m’étais dit qu’il valait mieux lire le livre car autrement je risquais de passer à côté. Et j’ai bien fait, mais tellement !
Mange, Prie, Aime, je ne l’ai pas lu, je l’ai vécu ! Avec Liz (l’auteure mais aussi héroïne de l’histoire puisqu’il s’agit d’un récit autobiographique), je me suis effondrée dans la salle de bain (au figuré, je vous rassure), j’ai dévoré des pâtes en Italie, j’ai médité en Inde, j’ai vibré à Bali… Ce livre est tellement vrai, tellement sincère, qu’il nous touche au plus profond. Je comprends pourquoi il a fait le tour du monde, traduit en plus de trente langues !
Les personnages, pourtant secondaires, sont vraiment attachants (Tutti et son petit carré de céramique m’ont humidifié la pupille).
Je ne sais même pas comment mettre des mots sur ce que j’ai ressenti en lisant ce livre…
J’ai envié Liz. Pour son courage malgré sa détresse infinie. Pour ce chemin parcouru, depuis l’ombre et les pires ténèbres jusqu’à la lumière et la sérénité. Pour toutes ces rencontres, surtout le sorcier balinais (quelqu’un sait où le trouver ?). Pour cette spiritualité, cet éveil, cette richesse intérieure qu’elle a réussi à faire germer.
J’en suis venue à me dire que sa souffrance valait la peine d’être vécue puisqu’elle lui avait permis d’emprunter ce chemin, d’atteindre son équilibre et de se révéler/relever.
Enfin, pour ne rien gâcher, j’ai adoré le style de l’écriture. Les dialogues autant que les descriptions donnent un rythme très vivant au récit. Les cinq cents pages glissent toutes seules. On y est, oui, on est avec Liz, à ses côtés, pendant tout le livre.
Après avoir refermé Mange, Prie, Aime, je n’ai eu qu’une envie : partir moi aussi en Inde pour vivre au rythme d’un ashram, méditer, et chanter la Guru Gita…
[EXTRAIT] Je ne cesse de me remémorer un des enseignements de mon guru à propos du bonheur. Elle dit que les gens, universellement, ont tendance à penser que le bonheur est un coup de chance, un état qui leur tombera peut-être dessus sans crier gare, comme le beau temps. Mais le bonheur ne marche pas ainsi. Il est la conséquence d’un effort personnel. On se bat, on lutte pour le trouver, on le traque, et même parfois jusqu’au bout du monde. Chacun doit s’activer pour faire advenir les manifestations de sa grâce. Et une fois qu’on atteint cet état de bonheur, on doit le faire perdurer sans jamais céder à la négligence, on doit faire un formidable effort et nager sans relâche dans ce bonheur, toujours plus haut, pour flotter sur ses crêtes. Sinon, ce contentement acquis s’échappera de vous, goutte à goutte. C’est assez facile de prier dans un moment de détresse, mais continuer à prier même quand la crise est passée, c’est comme vouloir sceller votre acquis, comme aider votre esprit à se cramponner aux bienfaits qu’il a conquis. [EXTRAIT] – Je croyais sérieusement que David était mon âme sœur.– Il l’était, probablement. Ton problème, c’est que tu ne comprends pas la signification de ces mots. Les gens pensent qu’une âme sœur est leur association parfaite, et tout le monde lui court après. En fait, l’âme sœur, la vraie, est un miroir, c’est la personne qui te montre tout ce qui t’entrave, qui t’amène à te contempler toi-même afin que tu puisses changer des choses dans ta vie. Une vraie âme sœur est probablement la personne la plus importante que tu rencontreras jamais, parce qu’elle abat tes murs et te réveille d’une claque. Mais passer sa vie avec une âme sœur ? Quelle idée ! Trop douloureux. L’âme sœur, elle ne débarque dans ta vie que pour te révéler une autre strate de toi-même, et ensuite, elle se casse. Dieu merci. Ton problème c’est que tu n’arrives pas à laisser celle-là s’en aller. C’est fini Supérette. La raison d’être de ta rencontre avec David, c’était de te secouer, de te faire quitter ce qu’il te fallait quitter, de t’écorcher un peu l’ego, de te montrer ce sur quoi tu buttes et ce dont tu es dépendante, de te briser grand le cœur afin qu’une nouvelle lumière puisse y pénétrer, de t’acculer à un désespoir et une perte de contrôle tels que tu étais obligée de transformer ta vie, puis de t’introduire auprès de ton maître spirituel. C’était ça son boulot, et il l’a super bien fait, mais là, c’est terminé. Le problème c’est que tu n’arrives pas à accepter que cette relation était éphémère. Tu es comme un chien dans une décharge, bébé – tu t’obstines à lécher une boîte de conserve vide, à essayer d’en extraire coûte que coûte de quoi te nourrir. Et si tu n’y prends garde, cette boîte va rester coincée à jamais sur ton museau et rendre ta vie misérable. Alors lâche-le. [CITATION] Le lieu de la paix de l’âme est le cœur.
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Un autre roman de développement personnel auquel j’ai consacré un article sur le blog il y a quelques mois : Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une
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Si les romans de développement personnel vous intéressent, épinglez cet article sur Pinterest !
Vous connaissez ces livres ? Lesquels vous donnent envie de vous plonger dans leur lecture ?
Avez-vous des romans de développement personnel intéressants à me recommander ?
Merci pour toutes ces recommandations!
Mange prie aime me fait vraiment envie, il faudrait que je le lise avant de voir le film!
Bisous!
Coucou Juliette !
Oh oui, Mange, Prie, Aime est un incontournable, je te conseille de le lire absolument avant de regarder le film ! Oui, oui, oui !
Bisous
Bonjour pareil pour moi
Mange prie aime me tente bien aussi
Surtout que j adore l Asie et leur mode de vie
Bonjour,
Vous pouvez également lire « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’ en as qu’une »
de Raphaelle Giordano. Un joli roman pour se faire du bien et retrouver sa créativité…
Bonjour Cécile,
J’ai lu « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’ en as qu’une » et j’ai beaucoup aimé. J’ai consacré un article à ce livre, j’ai d’ailleurs mis le lien en bas de cet article ;-)
Belle journée !
Bonjour,
Merci pour ces recommandations, j ‘en ai noté une ou deux et j ai déjà hâte de pouvoir les découvrir.
Je me permets juste de vous en recommander un à mon tour qui je pense vous plaira beaucoup. Je ne vous en dit pas plus mais je ne pense pas me tromper ;)
Zéro kilomètre de Maud Ankaoua
Bonne lecture.
Hello !
J’ai également adoré l’oeuvre Mange, Prie, Aime ! Beaucoup de spiritualité et de réflexions dans un même ouvrage. On apprend en même temps que le personnage principal.
Le livre de Gounelle me tente aussi ! Je ne le connaissais pas mais les extraits et ce que tu en dis me donne envie de le lire.
Bonne semaine ~
Coucou !
Je crois qu’on a toutes adoré Mange, Prie, Aime… <3
J'ai envie de lire "L'homme qui voulait être heureux" de Gounelle maintenant ! :) Apparemment tous ses bouquins sont bien.
Bonne semaine à toi aussi.
C’est vrai qu’on entend/voit souvent parler des ouvrages de Gounelle, il est donc temps que je me mettes à en lire un :)
Bon week-end et à bientôt ~
« Mange Prie Aime » a eu le même effet sur moi, c’est un très beau livre. Je n’ai pas lu les autres, mais ton article m’a donné envie de les découvrir. Bisous, Marion, Chronicles of Marion
Merci pour ces titres ! Je suis beaucoup plus adepte de pistes données sous forme de roman que de livres de développement personnel à proprement parler.
Mange, prie, aime, j’ai lu ce bouquin 3 fois et vu le film autant, il a changé ma vie. Peut-être devrais-je y revenir en ce moment d’ailleurs. C’est une merveille en tout cas. J’avais beaucoup aimé Le Dernier Américain du même auteur, tout aussi dépaysant et prêtant à la réflexion.
Sinon Les Dieux Voyagent toujours Incognito m’intrigue, j’y viendrai probablement plus tard :)
Hello !
Merci pour toutes ces découvertes, tu m’as vraiment donné envie de lire Mange, prie, aime, ! J’avais vu le film il y a quelques temps et je m’étais arrêté au début car je n’avais pas accroché, je l’avais trouvé très loongs et je n’avais pas eu assez de patience pour voir ou ça menait.
Je te conseille un livre incroyable qui m’a vraiment secouer intérieurement et qui fait parti des « livres qui ont changé ma vie » il s’agit d’un livre d’Antoine Page: Et il me parla de cerisiers, d’une poussière et d’une montagne. Il se lit très vite, mais on y revient toujours car ce livre fait un bien FOU et fait vraiment réfléchir
Coucou Manaelle (superbe prénom !),
MERCI pour le livre que tu me conseilles, tu as aiguisé ma curiosité, je vais l’acheter du coup ^^
Comme toi j’avais décroché du film Mange, Prie, Aime dès le début… Mais alors le livre, impossible de le lâcher ! Tu peux y aller les yeux fermés, vu les retours que j’ai toutes les personnes qui l’ont lu l’ont aimé.
A bientôt ! :)
A la suite de ton article je me suis jetée sur le film « Mange, prie, aime » ( team feignasse^^ ) et j’ai adoré ! Mais je pense que le livre doit être encore plus percutant et après relecture de ton avis il me tarde de le lire et ressentir toutes ces émotions..
Une belle découverte dont je te remercie ;)
Ahhh, sacrilège tu as regardé le film d’abord ! lol Pas de doute que tu vas adorer le livre si tu as déjà aimé le film.
Merci pour ton commentaire ;-)
Bonjour.
Merci pour cet article !
Je voulais aussi faire partager une lecture qui s’appelle Ma bible acido-basique.
Je crois me souvenir que ton rendez-vous avec un naturopathe avait été mitigé. Moi-même je suis un peu frileuse.
Mais le livre est pas mal du tout car il permet de rééquilibrer son alimentation en fonçant sur les légumes et les fruits, et en mangeant moins de viande.
C’est aussi un mode de vie à adopter.
Mais ce n’est pas évident de changer ses habitudes.
Voilà.
A d’autres lectures !